Si je ne vais plus trop au cinéma, j'ai quand même des séries à disposition! Et même un paquet que je souhaite essayer. Vous avez vu la dernière Aguiche Room d'ailleurs? Gaulomètre à 4,5 boules de massage (parce que j'ai quand même peur qu'on tombe dans le banal 1 épisode = 1 enquête)! Bon, en attendant janvier (et le retour de Girls!), deux séries: Äkta människor, la série suédoise futuriste, revient avec une saison 2, et le Daily Mars a déniché un pitch avec un héros australien à Singapour (je suis en Australie, je reviens juste de Singapour, tu vois? Fou).
Äkta människor, s02
Où en étions nous? Des Hubots se rebellaient, montraient leur âme; d'autres restent tels qu'ils ont été conçus, de frigides robots. Des humains aiment les Hubots, fascinés par leur perfection; d'autres les détestent, se sentant remplacés, mis à l'écart, inutiles. Les premiers épisodes de la saison 2 d'Äkta människor ne se contentent pas seulement de nous remémorer la saison précédente, ils tentent déjà une percée vers l'avant. En un épisode, TOUS les personnages de la saison 1 sont évoqués; et de nouveaux entrent en scène. Il y avait déjà des intrigues non closes, à la fin de la saison 1, et la saison 2 en ouvrent encore d'autres. La série devient très confuse et on oublie les motivations de ses débuts.
Une fois que la base est acquise, que le spectateur a intégré, dans la saison 1, le concept des Hubots, sans étalage inutile de technologie, il faut passer au rythme supérieur, et ça ne veut pas dire deux fois plus d'intrigues. Les scénarios auraient pu se contenter de quelques intrigues secondaires seulement à chaque épisode, plutôt que de vouloir tout raconter, tout condenser. Bon, je n'ai vu que deux épisodes, je laisse encore 2 épisodes à la série pour se relever.
Serangoon road, s01
1964, Singapour: la ville va prendre son indépendance, se détachant de la Malaisie, tout juste créée deux années auparavant (un regroupement d'anciennes colonies britanniques). Chinois, Malais, soldats anglais se côtoient dans un climat politique hargneux. Un mystérieux Australien, installé là et qui connaît la ville dans ses recoins les plus sombres et ses habitants les plus retors, est recruté par une Chinoise. Patricia Cheng décide de reprendre l'agence de détectives de son mari, décédé quelques mois auparavant... et Sam Callaghan pourrait bien l'aider aussi à retrouver le meurtrier.
1964, Singapour: la ville va prendre son indépendance, se détachant de la Malaisie, tout juste créée deux années auparavant (un regroupement d'anciennes colonies britanniques). Chinois, Malais, soldats anglais se côtoient dans un climat politique hargneux. Un mystérieux Australien, installé là et qui connaît la ville dans ses recoins les plus sombres et ses habitants les plus retors, est recruté par une Chinoise. Patricia Cheng décide de reprendre l'agence de détectives de son mari, décédé quelques mois auparavant... et Sam Callaghan pourrait bien l'aider aussi à retrouver le meurtrier.
Visage buriné de voyageur fatigué, au passé caché mais dont ressortent de sombres images, Sam porte la série sur ses épaules (mises en valeur dans un marcel blanc très seyant). On en découvrira certainement plus sur son joli minois au cours de ses enquêtes, et via son amante, Claire Simpson, une expat' bien comme il faut, mariée et qui s'ennuie. Entre l'aventurier, la parfaite petite cruche, d'affreux bas-fonds et les rues peuplées de Singapour, on a quelques bons gros clichés. Il faut avouer que l'heureuse coïncidence plaçant un Australien à Singapour me plaît surtout, et le climat moite de Singapour; l'intrigue, elle, n'est pas la mieux menée. A croquer si vous avez besoin d'un peu de chaleur et de rien de trop compliqué.
Äkta människor
saison 02 depuis le 1er décembre 2013 sur SVT (Suède)
Serangoon road
saison 01 depuis le 22 septembre 2013 sur ABC (Australie)
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