Sur chaque ride longue distance, les moments compliqués passent. Au fil des kilomètres parcourus, on traverse différents climats, reliefs, états d'esprit. Pour un moment qui semble dur, il y aura un instant clément. Je ne vais pas donner de détails sur ce qui m'a fait considérer l'abandon du BRM400 de Strasbourg le week-end dernier. Je ne veux pas avoir à me justifier. Croyez moi sur parole, c'était difficile et les éclaircies avaient été absentes sur près de 200km. Il restait 150km à rouler.