Sunday, June 14, 2009

Annecy 2009 - quelqu'uns des films vus


Tout à fait hystérique, narration dadaïsque, ça tient plus que la route en long-métrage, c'est Panique au village.


Vu en relief donc, mais après Panique au village, ce n'est pas vraiment de l'humour qui fonctionne.




Petite conférence de ces messieurs de Pixar sur l'idée du nouveau court-métrage qui viendra avant les projections de Up; et puis petit making-of de Up. Des speechs bien préparés, illustrés, rigolos, intéressants... Que du bon!



On se prévoit une autre projection dès que ça sort?



Vue aussi, la plus ou moins sélection de Jean-Pierre Jeunet de courts-métrages, précédée d'une projection d'un court-métrage d'Emile Cohl, Les allumettes fantastiques (1912), tout juste restauré, et accompagné au piano par Serge Bromberg (à gauche sur la photo).


Une association réusie de courts-métrages du génial studio 4°C. Certains sont illisibles si séparés des autres, mais l'ensemble est cohérent et homogène, et enfle pour finir en fanfare. J'y ai lu une apologie du génie créateur planqué derrière des évènements du quotidien. Oui, rien que ça.



J'ai eu un véritable engouement pour ce film; à développer très vite donc, dès que je serais allée le revoir. En deux mots, un univers à la Alice au Pays des merveilles, et jouissif en relief (même si les lunettes font mal au nez, et qu'on ne peut pas trop bouger la tête sous peine de voir double).


Des courts-métrages en vrac, dont celui-ci, simple et réussi.


Sagan om den lille dockpojken... C'était drôlement moche, et en même temps vachement rigolo, alors il fallait qu'il ait sa petite vignette.


Un bon petit court-métrage absurde, au graphisme simplissime.

Bravo Ben, chouette film de fin d'études, chouette musique, chouette idée, chouette personnage. Et en plus vous pouvez le regarder .


Slavar a gagné un prix, même deux. Je l'ai presque vu, mais en fait je m'étais endormie, parce que trop de soleil, trop de courts-métrages vus, il est indispensable de fermer les paupières de temps en temps. Je regrette de l'avoir fait pile à ce moment-là.


Lost and found, un joli film au rythme lentissime et contemplatif, au discours conventionnel mais toujours vrai, et si joliment dit, si joliment montré... Des studios Aka.



Sur un autre rythme, Jazzed éclate de couleurs et de musique.


Chicken wings sert une seule idée, retranscrite simplement, et possède un seul rebondissement... Hilarant.


Un jeu délirant empli de codes cartoonesques.


Et un petit dernier pour la route, sans parole.

3 comments:

Ben said...

ça fait plaisir !
(chouette article)

axx said...

C'est génial Coraline!
D'ailleurs je crois que j'ai pas été aussi mal/angoissé au ciné depuis des années… Comme quoi, rien de tel que les peurs enfantines et primales pour atteindre les (faux) adultes.

La 3D par contre n'apporte vraiment pas grand chose.
Et ça coûte 3€ de plus, tss.

Fanny said...

Yes, Coraline, faut que je le revois mais pfiou, qu'est-ce que c'est bien!

Le relief, j'ai bien aimé par contre, ça fonctionne super bien dès qu'elle passe la porte, on entre encore plus dans son univers fantastique. Ce genre de merveilleux n'a pas de place dans Monster vs Aliens par exemple, alors du coup, le relief sur ce film, ça n'apporte absolument rien du tout!