Wednesday, January 4, 2017

Bilan 2016 cinématographique... & all

Tout le monde a fait son bilan fin 2016. Je laisse comme d'habitude, une chance à cette année de se terminer complètement et mon petit bilan arrive la première semaine de janvier.


2016 a marqué un tournant ; c'est la première année depuis des années de bilans cinématographiques que je vois aussi peu de films. En me retournant sur les douze mois passés, j'en vois peu qui m'ont marquée ; il y en a même, en voyant le titre, dont je ne me souviens absolument pas.

Cette année j'ai terminé/mis les mains dans UN film, celui qui me marquera toute ma vie, le premier. Il m'a occupé l'esprit, les doigts, pris pas mal d'énergie. Et quand l'esprit et le reste sont occupés, le corps vagabondait, sur les routes. J'ai parcouru presque 10.000 kilomètres cette première année de vélo. Le vélo bouffe les weekends, 5 heures de route, autant de repos, pas de temps pour tout le reste. Je n'ai pas bien optimisé mes temps de récupération pour aller traîner au cinéma.

http://fannybens.blogspot.fr/2016/11/carnet-de-voyage-asia-2016.html

Le cinéma, il m'a lassée. Je l'ai déjà dit, je m'en rends encore une fois compte alors que ce bilan 2016 est ridiculement mince, j'en ai assez d'aller voir des films qui ne me transcendent pas. Le dernier de l'année était décevant. Les bonnes résolutions de 2017 découlent de ce constat : je vais voir des films à la maison, des classiques, des valeurs sûres, je vais refaire mon éducation, consommer moins, nourrir mon esprit quand mes jambes se reposent, en 2017. Et les jambes au contraire, je vais les activer, les faire courir et tourner. 2017 sera sportif.

Allez, quand même, quelques images qu'on ne veut pas oublier, dans l'ordre de sortie :

Demolition, de Jean-Marc Vallée
Ouais. Pas le plus fou. Mais j'ai ressenti des émotions. Et ce n'est pas si fréquent.

Beasts of no nation, de Cary Fukunaga
Même pas un film, mais un téléfilm. Mieux que pas mal de choses.

Tout en haut du monde, de Rémi Chaillé
J'aimerais être vraiment féministe comme ce film.

No comments: